La lettre d'infos de la fédération du Parti socialiste de la Vienne!


Agenda - A venir !

Mardi 2 mars, 19h

La parole des victimes, comment la prendre en compte et agir.

Avec Laurence Rossignol, sénatrice de l'Oise, ancienne ministre aux droits des femmes, présidente de l'Assemblée des Femmes et Cécilia Gondard, Secrétaire Nationale à l'égalité Femmes-Hommes au Parti Socialiste

Evénement Facebook : https://fb.me/e/27rumEe25

Lien de connection:  https://zoom.us/j/94817922785?pwd=UnZZSGVOcDRxNkdDb3J2TDEvUk9mQT09

Jeudi 4 mars à 18h30 : Deuxième #LiveDuProjet sur la santé. Vous pouvez vous pré-inscrire: ici

Dimanche 7 mars à 11h à Châtellerault : A l'occasion de la journée internationale des droits
des femmes Françoise Méry ,
cheffe de file du groupe de gauche
à Châtellerault et Flavien Cartier, secrétaire de la section du Pays Châtelleraudais organisent un rassemblement devant le stade
de la ville  de Châteauneuf. 
(Bien entendu, les mesures sanitaires seront respectées : masques et distanciation)

 

Edito

Le télétravail, oui, mais à quel prix ?

 

Nous avons décidé dans cette lettre mensuelle de parler du télétravail qui connait un essor important depuis le début de la pandémie. Très fréquent dans certains pays qui l’ont adopté depuis longtemps déjà , tel que les Pays Bas, le télétravail tend à s’étendre de plus en plus en France et de nombreuses entreprises y ont désormais recours.

Le cadre légal du télétravail est relativement souple. Il convient simplement de respecter quelques règles de droit et de trouver le bon équilibre ; un, deux ou trois jours, parfois 4.

Ce mode de fonctionnement permet à chaque salarié qui pratique le télétravail d’économiser notamment le prix des transports, de bénéficier d’un espace plus confortable où l’on se sent à son aise, de travailler dans un cadre souvent plus calme et de concilier vie professionnelle et familiale.

Il peut également être le moyen d’avoir davantage de loisirs et de penser plus à soi, ce qui contribue au bien-être. Autre bénéfice du télétravail à distance : la diminution de la fatigue et du stress, notamment grâce la réduction des temps de transports.

Cependant, le télétravail peut aussi devenir une souffrance pour les salariés sur le long terme, les interactions sociales n’existant quasiment plus. Qui plus est, l’être humain n’est pas fait pour rester une journée entière derrière un ordinateur, et pour certains, il est difficile de dissocier vie personnelle et vie professionnelle en perdant tous les repères qui rythment la semaine de labeur. Pour d’autres, l’ordinateur devient le seul interlocuteur.

L’ordinateur est l’outil de recherche, l’outil de rédaction, l’outil de communication. A long terme, que penser des effets sur la santé ? Nos cinq sens sont mis à l’arrêt en dehors de la vision, mais la lumière des écrans stimule la vigilance et peut développer des troubles du sommeil. Il est très compliqué pour un être humain de rester concentré et motivé sur son travail, d’autant plus dans les conditions de restrictions que l’on connaît aujourd’hui, et la journée peut parfois paraître comme étant un grand tunnel qui se termine par un couvre-feu…

Alors, le télétravail ? Oui, mais à condition qu’il ne soit pas subi !

 

Laurence Vallois-Rouet
Première secrétaire Fédérale de la Vienne

Eric DUCROS

Secrétaire fédéral à la communication


Actualités locales



Tribune signée par l'ensemble des formations de gauche! «Nous attendons une véritable prise en compte de la souffrance étudiante, une reconnaissance du travail universitaire, pas des polémiques stériles et insultantes. 

» Alors que la ministre Frédérique Vidal est en visite sur notre territoire, nous, élu.e.s et partis politiques déplorons son déplacement si tardif, presque un an après le début d’une crise sanitaire sans précédent qui détruit lentement le milieu universitaire. 
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Que restera t’il de leurs 20 ans ? 

Alors que nous assistons aux questionnements d’une jeunesse privée de cours, de travail et de vie tout court, je me suis mis à repenser à mes 20 ans. 

Lire la suite de la tribune de Xavier Moinier ici

Portraits croisés et regards d'étudiant.e.s sur la crise Covid-19

Marine et Théo partagent leur quotidien entre confinement, couvre-feux et cours à distance… 
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Témoignage de Clément, 32 ans, salarié dans une entreprise de marketing

Je suis en télétravail depuis mars 2020, dès le début du confinement. Entre les deux périodes de confinement, je travaillais à mon domicile 1 jour sur 2. Depuis janvier 2021, je suis 1 jour par semaine en entreprise.

Le télétravail nous a été imposé, sachant qu’avant la crise sanitaire, nous n’avions pas cette possibilité.

Je le vis plutôt bien. Je trouve que ça permet d’être plus productif car on est moins dérangé. De plus, n’ayant aucun déplacement, j’ai un gain de temps sur ma journée, je me lève plus tard et je finis à l’heure. Le point négatif, c’est le lien social, j’avoue que mes collègues me manquent.

Toutefois, si les conditions sanitaires s’amélioraient, je pense que j’aimerais être en télétravail à temps partiel, à 80 %, car j’éprouve beaucoup moins de stress et que je peux travailler sans pression donc à mon rythme.

 

Témoignage de Charlotte, 32 ans, agent dans une collectivité territoriale

Je suis en télétravail depuis le 17 Mars 2020, par intermittence.  

Au début de la crise sanitaire, comme pour beaucoup, cela m’a été imposé. Aujourd’hui, j’ai en partie le choix : au moins une journée de télétravail demandé par mon employeur, et impossibilité d’être en même temps que mon collègue dans notre bureau partagé.  

Comme la quasi-totalité de mes collègues, j’ai donc choisi de pratiquer un télétravail partiel, pour des raisons d’organisation de service et afin de pouvoir accéder à certaines données papiers. En effet, le fonctionnement antérieur à la crise sanitaire reposait encore en partie sur le papier. Cela me permet également de rencontrer mes collègues et d’échanger avec eux en direct, ce qui m’apparait aujourd’hui indispensable, même si cela reste ponctuel.

Ma collectivité avait déjà mis en place le télétravail, mais selon des critères très restrictifs dans lesquels je n’entrais pas, malgré une distance géographique importante entre mon domicile et mon bureau.  

Mon employeur n’ayant pas l’habitude de la mise en place du télétravail, j’ai tout d’abord rencontré des difficultés quant à la l’accès à des outils (matériels, logiciels, etc.). Cela a entrainé, au début, la nécessité d’utiliser du matériel personnel, engendrant certains frais et un effritement dommageable de la frontière entre professionnel et personnel. J’ai également dû penser un espace de travail spécifique à domicile ce qui a nécessité des aménagements que j’ai progressivement réalisés, mais qui pourraient encore être améliorés.  

Aujourd’hui, je suis parfaitement équipée par mon employeur et j’ai la possibilité de ne pratiquer qu’un télétravail partiel. Cela m’a permis de trouver, après près d’un an de pratique, un nouveau processus de travail qui me convient et de rétablir une distance entre personnel et professionnel. Toutefois, je pense que les processus d’encadrement et de transmission de l’information ne sont pas encore adaptés à des équipes mixtes (télétravail et présentiel, chaque jour avec des effectifs différents), ce qui entraine pour moi des inégalités dans la communication de l’information et le suivi hiérarchique.  

Inconvénients : Rien ne remplace pour moi les échanges spontanés avec les collègues, ce qui n’a quasiment pas lieu en télétravail, malgré de bon outils mis à disposition. D’autre part, il me semble difficile de mettre en place un niveau d’information et un encadrement égalitaire entre les personnes sur place et en télétravail. Enfin, être en télétravail me demande une discipline plus importante pour ne pas être déconcentrée.  

Atouts : La diminution de la fatigue et des coûts engendrés par les trajets domicile/travail est importante et j’ai notamment plus d’énergie en fin de semaine que lorsque je suis à 100% en présentiel.

Si les conditions sanitaires le permettaient à nouveau, je préfèrerais continuer une pratique mixte avec peut être seulement 1 ou 2 jours de télétravail par semaine.  Un peu en télétravail en raison de la distance importante entre mon domicile et mon lieu de travail, le reste en présentiel en raison des échanges avec les collègues.

Hommage 

Membre du parti socialiste de la Vienne, militant à la section du Pays Châtelleraudais, Maurice Bruère nous a quitté à 93 ans. Après une longue carrière comme Directeur Général adjoint de la Ville de Tours, Maurice était venu passer une paisible retraite à Châtellerault. Engagé, exemplaire et fidèle à ses convictions, il va nous manquer.

 


Actualités Nouvelle-Aquitaine


Ma région, mon quotidien – Ma région, mon avenir !

Retrouvez les principaux dispositifs de soutien et d'aide de la Région et découvrez les grands projets menés sur le territoire néo-aquitain 
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Des paniers alimentaires gratuits pour les 15-30 ans La Région met en place des distributions de paniers alimentaires pour les jeunes de 15 à 30 ans en difficulté. Ces paniers contenant de la nourriture et des produits d'hygiène sont disponibles sur tout le territoire néo-aquitains grâce à un réseau de distribution s'appuyant sur les associations locales. 

Comment bénéficier des paniers alimentaires gratuits et retrouver les points-relais des départements dans la région ? A voir ici 

Face à un très grand nombre de demandes, la Région et ses partenaires vont renforcer le réseau d'associations participant à l'opération pour proposer de nouveaux points de distribution.

 

Rebond PME : Appui à la réflexion stratégique pour favoriser le rebond des entreprises industrielles néo-aquitaines face à la crise

Votre entreprise rencontre des difficultés liées à la crise du #COVID19 ?
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La Nouvelle-Aquitaine veut tester un protocole sanitaire pour rouvrir les lieux culturels 

Le président de la région Alain Rousset a présenté une proposition d’expérimentation qui s’appuie sur un programme d’intelligence artificielle, basé sur « 30 paramètres ». 
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Actualités Nationales


Déclaration commune des forces de gauche et écologistes en soutien au secteur culturel

Retrouvez la déclaration commune des forces de gauche et écologistes en soutien au secteur culturel
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Monsieur Blanquer : « Si vous trouvez que l'éducation coûte trop cher, essayez l'ignorance ! 

Retrouvez le billet de Yannick Trigance qui dénonce la baisse des moyens dans l’Education nationale 
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Live du projet 

Dans le cadre du projet « RDV 2022 » lancé par le Parti socialiste, retrouvez tous les premiers jeudis du mois un grand live qui réunit celles et ceux qui œuvrent pour construire un projet commun à l'horizon de 2022.

Retrouvez dans ce 1er live les propositions des socialistes sur le thème du travail.
Lire la suite ici 

On vous attend si ce n’est pas encore fait sur https://www.rdv2022.fr/ pour voter sur les propositions et commenter ce premier thème de travail !

Financement du RSA 

17 départements dirigés par les socialistes engagent une procédure afin d’obtenir la juste compensation des revalorisations décidées par l'État, cette action est engagée pour demander une indemnisation estimée à 5,6 milliards d’euros. 
Retrouvez leur communiqué de presse ici


L'actualité des parlementaires


Niche parlementaire des députés socialistes et apparentés 

Lire les propositions et le dossier de presse ici

Violences sexuelles sur mineurs 

"Il est temps que la patrie des droits de l’homme soit la patrie des droits de l’enfant !"

La proposition de loi d’Isabelle Santiago renforçant la protection des mineurs victimes de violences sexuelles et tire les conséquences des insuffisances de notre législation pour protéger les jeunes mineurs victimes de crimes sexuels est adoptée à l'unanimité ! - Violences sexuelles, seuil d'âge de non-consentement à 15 ans - En cas d'inceste, seuil d'âge de non-consentement à 18 ans 

Suite à l'adoption de la proposition de loi, Olivier Faure était sur le plateau de « Ça vous regarde » sur LCP pour en parler. Découvrez le replay de l'émission ici

Un revenu minimum jeunesse 

La République en Marche a refusé cette proposition, mais a également repoussé un amendement de compromis pour ouvrir de manière temporaire, le temps de la crise, le droit au RSA dès 18 ans. Pour la REM, la jeunesse doit en baver et ses devoirs passent avant ses droits.

« Nous avions proposé un amendement de compromis, une expérimentation de court-terme pour venir au secours d'une jeunesse qui se noie... ». La majorité l'a refusé. C'est le coeur serré et le coeur révolté que nous retirons ce texte. » Boris Vallaud

« À la génération Covid qui est aussi la génération climat, nous devons un minimum jeunesse » 
Lire la tribune de Boris Vallaud et Hervé Saulignac sur leur proposition de loi ici

Retrait de la PPL sur l'extension de l'IVG

Ce mardi 16 février, le Groupe Socialistes et apparentés a été contraint de retirer à l'Assemblée nationale, la proposition de loi IVG qui consistait à allonger le délai légal de l'IVG de 12 à 14 semaines. D'abord adoptée en première lecture en octobre à l'Assemblée nationale, cette proposition de loi a été inscrite à l'ordre du jour du Sénat à l'initiative de Laurence Rossignol et des sénateurs socialistes. Elle a été refusée par les sénateurs de droite.

Marie-Noëlle Battistel et les députés socialistes ont souhaité continuer à faire avancer ce texte et l'ont fait adopter en commission des affaires sociales mercredi 10 février. Lire la tribune ici

 

Le Zap des parlementaires socialistes 

le Zap Parlementaire de la semaine du 15/02, avec les questions au gouvernement     
Lire la suite ici

 


Dans les médias


Retrouver Olivier Faure dans les médias ! 

La Matinale sur CNEWS le 17/02/2021 ici

Dimanche en politique sur France 3 le 7/02/2021 ici



« Etre socialiste, c'est travailler à une société plus juste » Lionel Jospin

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